Apple, historiquement influent dans le high-tech, a été en retrait dans le domaine de l’IA face à des concurrents tels que Microsoft et Google. Cependant, la firme américaine développe actuellement MGIE, un procédé linguistique d’apprentissage automatique destiné au traitement d’images. Cette innovation facilitera la vie des utilisateurs grâce à des commandes simples et courtes. MGIE se distingue par trois caractéristiques: une grande adaptabilité, une détection fine des objets et une contextualisation avancée. Ces atouts permettent à MGIE d’effectuer des corrections générales ou localisées, de supprimer des objets indésirables, d’identifier les composants d’une image et d’adapter l’environnement selon les modifications apportées. Actuellement intégré à macOS et iOS, MGIE devrait faire partie de l’application Photos et bénéficier à Siri et à l’application Messages dans iOS 18, prévu en 2024.
Google a renommé son Assistants Conversationnels BARD en Gemini en mars 2023, associé à une nouvelle interface intuitive et optimisée. Ce changement reflète probablement une harmonisation de la part du géant américain. Gemini, accessible en Europe, Amérique du Nord et bientôt mondialement, propose des fonctionnalités variées allant de l’assistance contextuelle aux capacités vocales multiformes. Une version premium, Gemini Advanced, sortira en avril 2023 avec des performances exceptionnelles. Ces innovations soulignent l’importance croissante de l’IA chez Google et dans notre société, nécessitant une anticipation collective pour en tirer profit tout en limitant les risques potentiels.
L’intelligence artificielle (IA) transforme notre monde, remodelant des secteurs clés tels que la finance, la santé et l’industrie manufacturière. Alors que les IA progressent, des questions surgissent quant à leur utilisation optimale, leur régulation et leurs contributions futures au progrès humain. Cet article examine l’histoire de l’IA, du passé à ChatGPT d’OpenAI, et explore les perceptions positives et négatives associées. Des préoccupations éthiques et sociales complexes sont soulevées, tandis que des stratégies pour un usage équitable, démocratique et inclusif de l’IA sont proposées. Le texte conclut en soulignant l’importance d’apprivoiser l’IA comme force disruptive et collaboratrice dans la recherche de solutions durables aux défis mondiaux urgents.
L’Autorité de la Concurrence française lance une consultation publique sur le secteur de l’IA, qui dure jusqu’au 22 mars, pour recueillir les avis d’acteurs variés quant au fonctionnement de ce domaine. Cette initiative fait suite aux inquiétudes exprimées par le chef de l’autorité, Benoît Cœuré, concernant les risques croissants d’abus de position dominante dans le secteur de l’IA, où les investissements massifs augmentent le danger de pratiques anticoncurrentielles. La consultation aidera à élaborer une future recommandation destinée à promouvoir une concurrence effective et durable dans le domaine de l’IA, avec pour objectif de maintenir un environnement concurrentiel équitable face aux investissements majeurs réalisés par les grandes firmes technologiques.
Dans son centre de lutte contre le cancer à Nice, le Pr Emmanuel Barranger explore les perspectives oncologiques des dix prochaines années. La prévention personalisée, avec des programmes comme Interception à l’Institut Gustave Roussy, cible les facteurs de risque modifiables. Les diagnostics et protocoles therapeutiques seront affines grace à une comprehension accrue de la tumeur et des caracteristiques de l’hote. L’IA apportera des outils puissants pour le diagnostic et la prediction de la reaction aux traitements. Des associations de traitements multiples maximiseront les chances de guérison, tandis que la médecine nucleaire gagne en importance. Les soins de support doivent être renforcés face aux difficiles pronostics, et la democratie sanitaire invite à placer les patients et leurs proches au coeur du processus decisionnel. Un role actif et solidaire de tous sera crucial pour transformer l’existence de millions de personnes atteintes par ce fléau.
Microsoft a annoncé des améliorations majeures pour CoPilot, son assistant numérique tout-en-un, avec une refonte visuelle, une meilleure ergonomie et des fonctions optimisées grâce à l’IA. Ces changements incluent l’intégration de Microsoft Designer pour des éditeurs d’images IA robustes et faciles à utiliser, ainsi qu’une nouvelle fonctionnalité de résumés vidéo AI pour YouTube et Vimeo. Un nouvel algorithme appelé Deucalion, développé par Microsoft, permettra à CoPilot de donner des réponses rapides et pertinentes. Ces mises à niveau renforceront l’accessibilité numérique et prépareront le terrain pour de nouvelles frontières en termes d’interactions humaines-machines.
Dans un monde où l’IA crée des images ultra-réalistes, Meta lutte contre la désinformation en taggant les contenus issus de l’IA. La frontière entre vrai et faux devient floue, car l’IA imite bien la réalité, favorisant ainsi la propagation de fausses nouvelles. Des acteurs comme Meta travaillent à identifier ces images fabriquées, mais des défis persistent, dont le manque de consensus international et la complexité technique. Divers enjeux connexes existent également, comme la gestion des deepfakes et la régulation des réseaux sociaux. Chacun peut contribuer à cette importante conversation en s’informant et en participant à l’élaboration d’un cyberespace plus équitable.
Mirakl, une start-up française spécialisée dans les solutions e-commerce B2B et B2C, brille dans le secteur Fintech malgré une conjoncture difficile. La société a enregistré une croissance remarquable en 2023, démontrant l’efficacité de sa stratégie axée sur l’expérience client et la valeur ajoutée de ses technologies. Alors que de nombreuses Fintech luttent dans ce contexte instable, Mirakl continue de se développer à l’international, d’investir dans la recherche et le développement, notamment dans l’IA et le Retail Media, et d’annoncer des partenariats stratégiques, renforçant ainsi sa position parmi les leaders mondiaux des solutions e-commerce.
L’intelligence artificielle (IA) révolutionne de nombreux domaines, dont celui de la création et édition d’images numériques. Les deux géants de la tech, Microsoft et Apple, sont en compétition pour innover dans ce secteur. Microsoft, dominant actuellement le classement grâce à ses succès en IA comme ChatGTP-4 et Copilot Pro, propose Bing Image Creator qui génère des images à partir de descriptions textuelles. Face à cette ascension, Apple a présenté MGIE, un algorithme de retouche d’image utilisant l’IA pour améliorer les photos avec une grande précision et facilité d’utilisation. Ces avancées technologiques suscitent des questionnements éthiques et sociaux quant à leurs implications dans notre rapport au savoir, à la créativité et à la productivité.
Dans un contexte sanitaire en mutation rapide, l’Intelligence Artificielle (IA) émerge comme un acteur clé, modifiant la pratique médicale conventionnelle. Cet article explore l’impact positif de l’IA sur la communauté médicale, en se focalisant sur la médecine esthétique, dermatologie et chirurgie. Les systèmes dotés d’IA améliorent le diagnostic et les prescriptions, grâce à une analyse plus fine des données disponibles. En dermatologie, l’IA permet une interprétation affinée des images cutanées, accroissant la fiabilité des analyses historiques. L’IA soutient également l’administratif, allégeant les tâches chronophages. Bien que l’IA offre des opportunités considérables, il convient d’encadrer éthiquement son usage afin de préserver la transparence et l’accès aux décisions thérapeutiques. Des collaborations entre médecins, ingénieurs et organismes régulateurs assureront une cohabitation harmonieuse entre humains et technologie, au profit d’une médecine tournée vers le bien-être des patients.