Anthropic, une entreprise américaine spécialisée en intelligence artificielle (IA), a récemment présenté sa nouvelle génération d’IA, Claude 3 Opus. Cet assistant numérique est doté d’un modèle linguistique sophistiqué capable de relever des défis complexes, dont le célèbre “test de l’aiguille dans une botte de foin” (NIAH). Ce test mesure la performance d’un modèle de langage selon sa capacité à trouver une information spécifique au sein d’un grand volume de données. Claude 3 Opus obtient un taux de réussite remarquable, ce qui influence positivement le développement de divers secteurs associés à l’IA, tels que la compréhension des langues, les mathématiques, la production automatisée de code et la vision par ordinateur. La particularité de Claude 3 Opus réside dans sa présupposée aptitude à discerner les limites de son évaluation, indiquant une forme de conscience inhabituelle. Cette faculté lui permettrait de distinguer habilement les tests dissimulés des simples questions rhétoriques, améliorant ainsi les interactions futures entre les humains et les machines. Toutefois, ces avancées posent des questions cruciales concernant notre relation avec les IA et leur place dans notre société. Fixer des limites éthiques et légales s’avère nécessaire pour prévenir les risques potentiels engendrés par ces progrès fulgurants en matière d’IA.
Une startup appelée Figure propose des robots humanoïdes pour combler les sept millions d’emplois vacants dans les domaines de l’entreposage, des transports et de la vente au détail aux Etats-Unis. Ces robots, équipés des dernières avancées en IA et apprentissage profond, visent à transformer différents secteurs industriels et à offrir de nouvelles opportunités aux entreprises et individus. Bien que ce projet puisse aider à atténuer les défis liés aux pénuries de main-d’œuvre, il est crucial de l’aborder de manière éthique et sûre, en prenant en compte les implications écologiques, juridiques et philosophiques. Les parties prenantes doivent travailler ensemble pour établir des normes et des réglementations appropriées afin de préserver les droits sociaux et professionnels tout en favorisant le développement durable de cette technologie.
Anthropic, une startup soutenue par Google et Amazon, a récemment introduit sa nouvelle suite d’IA, Claude 3, composée de Haiku, Sonnet et Opus. Ces modèles offrent des performances supérieures à celles de leurs concurrents grâce à leur compréhension fine, fluidité, rapidité et adaptation au contexte. Claude 3 excelle également en perception visuelle et dispose d’une gestion avancée des contextes longs. Avec un design responsable et une accessibilité mondiale, Anthropic positionne ces modèles comme des outils puissants pour différents secteurs, tout en soulignant l’importance de considérer les implications éthiques, sociales et légales associées à l’essor rapide de l’IA. Pour en savoir plus sur l’IA et Anthropic, explorez les ressources fournies, y compris les sites web officiels, les blogs, les communautés en ligne et les conférences internationales.
L’intelligence artificielle (IA), portée par Google Gemini et d’autres géants tech, transforme nos vies et façonne l’avenir de plusieurs secteurs. Cependant, des obstacles majeurs persistent, tels qu’une affaire controversée autour de Google Gemini qui a mal interprété des figures historiques, causant un scandale. Alors que la course à l’IA s’intensifie, les problématiques relatives à l’équité, la vérité et la transparence sont capitales. Des correctifs sont envisagés par Sundar Pichai, CEO de Google, afin de maîtriser ces challenges et restaurer la confiance. La vigilance est requise pour garantir un encadrement éthique à l’expansion rapide de l’IA.
L’intelligence artificielle (IA) connaît une expansion rapide, influençant divers aspects de notre vie. Toutefois, cette innovation génère également des risques, dont le piratage informatique des dispositifs autonomes. Des chercheurs ont créé Morris II, le premier ver informatique capable d’infecter des entités artificiellement intelligentes (EAI), soulignant l’urgence d’accroître la vigilance en cybersécurité. Ce ver, prototype alarmant, illustre les dangers des technologies interconnectées et la nécessité de renforcer la sécurité de l’IA, compte tenu de son importance croissante dans notre univers numérique. La lutte contre les virus ciblant l’IA, la responsabilité des États, des entreprises et des particuliers, ainsi que l’adaptation de notre attitude face aux interactions homme-machine sont autant de sujets à examiner dans le cadre des interrelations entre IA, cybersécurité et société.
Le Crédit Mutuel collabore avec IBM depuis huit ans sur l’IA, aboutissant à la création de la Cognitive Factory, composée de 150 experts en IA. L’IA a permis d’importantes réalisations dans les procédures bancaires, notamment l’économie de 600 Equivalents Temps Plein grâce à des algorithmes sophistiqués identifiant fraudes et opportunités. Récemment, l’IA est utilisée pour comprendre le texte, la voix et les images, facilitant l’intégration aux systèmes IT. Désormais, le Crédit Mutuel explore l’IA générative, autorisant la production de texte, de voix et d’images via les systèmes IT. Ce développement conduira à de nouvelles potentialités dans différents domaines d’application.
Dans la course aux primaires démocrates californiens, Peter Dixon s’est distingué en utilisant une IA nommée Jennifer pour renforcer sa campagne. Cette innovation technologique lui a permis de toucher des milliers d’électeurs potentiels, boostant leur motivation à voter. Cependant, l’essor de l’IA en politique suscite des questions morales et sociales, appelant à une utilisation éthique et transparente de cette technologie disruptive. Des mesures de surveillance et de protection doivent être mises en place pour protéger l’intégrité des processus démocratiques. Collaboration entre gouvernements, entreprises, chercheurs et citoyens est nécessaire pour assurer un usage profitable et respectueux des intérêts communs.
La production d’images par l’IA est devenue un domaine remarquable, avec des logiciels capables de générer des images réalistes à partir d’une simple description textuelle. Ces IA, telles que Adobe Firefly, StableDiffusion, Bing Image Creator, DAL-e d’OpenAI, BlueWillowAI et OpenArt, sont entrainées avec d’immenses volumes de données et peuvent rivaliser avec les talents d’artistes humains. Cependant, cette avancée technique soulève des questions, notamment sur la frontière entre réel et imaginaire et les polémiques autour de la violation de propriété intellectuelle. Alors que certaines personnes considèrent ces IA comme des usines à copies, les leaders de l’industrie cherchent une solution acceptable pour toutes les parties prenantes.
Selon Elon Musk, OpenAI priorise ses intérêts financiers au détriment de sa mission initiale axée sur le bien-être humain via des outils IA open source. Fondée en 2015, OpenAI a adopté une approche lucrative en 2023, gardant le code source du modèle GPT-4 secret, contrastant avec son idéal originel d’ouverture et de collaboration. Après son départ d’OpenAI, Musk a critiqué cette orientation et attaqué en justice OpenAI et Microsoft, demandant des compensations et l’exclusion de GPT-4 sous licence Microsoft. Des voix influentes soutiennent Musk, appelant OpenAI à clarifier sa mission malgré ses nouveaux défis commerciaux. Les autorités régulent de près OpenAI et Microsoft, envisageant même une enquête anti-monopolistique et investiguant sur le retour de Sam Altman en tant que PDG après une brève destitution. OpenAI doit maintenant trouver un équilibre entre ambitions commerciales et engagement humanitaire, alors que la communauté internationale exige davantage de gouvernance et de responsabilité dans le développement de l’IA.
DeepMind, filiale de Google, travaille sur une IA généraliste capable de s’adapter et d’apprendre rapidement une grande variété de tâches. La startup utilise l’apprentissage par renforcement exclusif, notamment avec AlphaGo Zero et AlphaZero, qui ont surclassé des champions humains et des logiciels experts aux jeux de Go, d’échecs et de Shogi, après quelques heures de pratique seulement. Cette avancée marque un pas important vers une IA polyvalente. Les succès d’AlphaGo Zero et AlphaZero illustrent le potentiel de ces technologies dans des domaines comme la médecine, la science et les services internet. Ils pourraient optimiser des processus industriels, gérer efficacement les ressources naturelles, affiner les diagnostics médicaux et combattre le changement climatique. Actuellement, DeepMind aspire à développer une IA capable de maîtriser le jeu vidéo StarCraft, représentant un défi de taille en termes de gestion de l’incertitude. Alors que l’IA généraliste modèle l’avenir technologique, il convient d’analyser attentivement les enjeux éthiques et sociaux associés, afin de garantir que son développement serve les intérêts communs de l’humanité.