Face à la hausse de la cybercriminalité financière, Mastercard utilise Decision Intelligence PRO, son nouveau système de cybersécurité basé sur l’IA. Alimenté par 125 milliards de transactions annuelles, ce système améliore la détection des fraudes et anticipe les attaques hostiles. Avec une analyse fine des transactions en quelques dizaines de millisecondes, Decision Intelligence PRO assure discrètement une sécurité optimale aux utilisateurs. Grâce à cette technologie, Mastercard entend combiner expertise technique et vision progressiste pour construire un avenir numérique fiable et axé sur le bien-être des utilisateurs.
Meta, anciennement Facebook, va bientôt introduire une fonctionnalité pour identifier et étiqueter automatiquement les images créées par IA sur Facebook, Instagram et Threads. Cela vise à lutter contre la désinformation, en particulier avant les élections prévues en 2024. OpenAI a également pris des mesures pour combattre la mésinformation générée par leurs technologies. Ces initiatives marquent le début de l’élaboration de futures normes strictes régissant l’usage de l’IA dans les communications en ligne. Pour accroître l’efficacité de ces actions, il faut encourager d’autres leaders technologiques à rejoindre ces discussions et à établir des directives uniformes concernant la production et la distribution de contenus numériques. Renforcez vos connaissances sur les deepfakes en consultant des articles supplémentaires et en suivant les derniers développements dans ce domaine important pour l’avenir de notre société hyperconnectée.
Huit géants de la tech, dont Microsoft et Telefónica, se sont engagés à développer une IA plus éthique et responsable, en plaçant la protection des droits humains au coeur de leurs activités liées à l’IA. Ces entreprises veilleront à minimiser les risques associés à l’IA et à établir un dialogue permanent entre les parties prenantes publiques et privées. Cette initiative intervient alors que des lois européennes encadrent l’utilisation de l’IA et qu’elle suscite des questionnements quant aux risques potentiels de manipulation de l’information et de falsification de documents officiels. Bien que des progrès soient accomplis, l’avenir de l’IA nécessite une vigilance continue pour garantir que les innovations technologiques servent les aspirations universelles de l’humanité.
L’Union Européenne a récemment adopté l’ « AI Act », une législation majeure visant à réguler l’Intelligence Artificielle (IA) sur son territoire. Ce projet a pris forme en avril 2021, lorsque la Commission européenne a introduit l’“Acte relatif à l’IA”. En 2022, l’apparition de ChatGPT, un chatbot développé par OpenAI, a grandement influencé les débats. Après des mois de négociations, un accord a été conclu en décembre entre les États membres et les eurodéputés, puis officialisé le 2 février 2023. L’AI Act impose des règles strictes pour assurer la fiabilité des algorithmes, durcit les contraintes pesant sur les IA puissantes, prohibe certains types d’IA dangereux, et peut servir de modèle pour d’autres pays.
La Fédération Française de Cyclisme (FFC) s’engage dans une quête d’excellence en innovant dans plusieurs domaines, dont l’aérodynamisme des coureurs et des vélos, la transmission, et l’utilisation de technologies numériques pour un suivi personnalisé en temps réel. La fédération collabore avec des instituts renommés tels que l’ENS Lyon, l’INSA Lyon, Polytechnique et le CNAM pour atteindre cet objectif. Les recherches visent à offrir un avantage indéniable aux cyclistes tricolores, à améliorer leurs performances et à recueillir un maximum de données durant l’entrainement et les courses. Cette approche globale et multidisciplinaire place les athlètes au centre de la performance en associant matériel de pointe et accompagnement humain de qualité.
L’Union Européenne a adopté une loi historique régulant l’intelligence artificielle, couvrant des domaines comme l’éthique, la transparence et la sécurité. Ce cadre juridique vise à instaurer un juste équilibre entre innovation et maîtrise des risques liés à l’IA. La nouvelle loi est largement saluée mais suscite également des critiques concernant sa rigidité possible et l’incertitude pesant sur certains points. Malgré cela, elle devrait stimuler l’essor de champions européens de l’IA et favoriser un usage responsable de ces technologies innovantes.
L’Union Européenne (UE) a récemment convenu d’une loi historique encadrant l’intelligence artificielle (IA), la première du genre à l’échelle mondiale. Cet accord vise à assurer la sécurité et le respect des valeurs fondamentales de l’UE face à l’expansion de l’IA. Parmi les dispositions spécifiques, on trouve des lignes directrices strictes pour les IAs génératives afin de garantir la qualité des données et prévenir les atteintes à la propriété intellectuelle. Les systèmes d’IA présentant des “risques élevés”, tels que ceux utilisés dans les infrastructures vitales et l’enseignement, seront assujettis à des exigences supplémentaires, dont un contrôle humain obligatoire, une documentation technique complète et une gestion stricte du risque associé. Cette initiative réglementaire souligne l’engagement de l’UE envers une croissance harmonisée, équitable et respectueuse des droits fondamentaux, pouvant servir de modèle à d’autres nations et organisations internationales.
L’intelligence artificielle (IA) et le machine learning transforment notre société, notamment en médecine où ils optimisent les procédures et les résultats cliniques. Des partenariats entre établissements médicaux et géants de la tech, comme à Taïwan, illustrent ce potentiel. Cependant, l’harmonisation des systèmes et la suppression des barrières réglementaires sont nécessaires dans certains pays, tel que la France, pour faciliter l’adoption de l’IA. Innover et investir dans la recherche en IA appliquée à la santé offriront des avantages substantiels, tels que des diagnostics affinés, des traitements adaptés et une meilleure allocation des ressources. Néanmoins, une utilisation éthique et sensible à l’expérience humaine est primordiale. Restez informé en suivant les actualités, en participant à des conférences et en échangeant avec des experts du domaine.
Databricks a fait trois grandes annonces lors du Data + AI Summit 2022: la sortie de MLflow 2.0, l’arrivée prochaine de la Marketplace Databricks et le lancement de Delta Lake 2.0. MLflow 2.0 offre des améliorations significatives en MLOps, dont MLflow Pipelines pour une automatisation puissante du machine learning, des modèles préfabriqués pour accélérer les performances et des Serverless Model Endpoints pour maîtriser les projets de machine learning. La Marketplace Databricks permettra une collaboration accrue et une productivité optimisée grâce à une variété de composants et à Delta Sharing, un outil open source efficace pour partager des données entre différentes organisations. Enfin, Delta Lake 2.0, partie intégrante d’un lakehouse open source, associera Spark Streaming, Spark Connect et des améliorations en termes de latence et de prédictibilité temporelle.