ChatGPT, développé par OpenAI, est une percée dans l’intelligence artificielle générale (IAG). Favorisé par des investissements de figures like Elon Musk et Sam Altman, ChatGPT repose sur des “Large Language Models” (LLM) et une architecture innovante nommée “Transformers”. Capable de générer du texte et d’interagir avec fluidité, il obtient d’excellents résultats académiques. Cependant, il rencontre des limitations, notamment sa voracité en ressources computationnelles et son incapacité à raisonner ou à comprendre le sens profond des phrases. Malgré cela, ChatGPT suscite espoirs et craintes quant à son impact sur l’éducation, le divertissement et les métiers de la tech, posant des questions sur l’automatisation et ses implications sociales.
Les cybermenaces évoluent rapidement, avec une augmentation alarmante des coûts associés aux violations numériques, projetés à 10,5 milliards de dollars d’ici 2025. Pour faire face à ces menaces sophistiquées, les entreprises doivent adopter des solutions avancées. Joaquín Gómez, expert en cybersécurité, souligne l’importance de l’intelligence artificielle, de l’apprentissage machine et d’une gestion sécurisée du DNS pour identifier et empêcher les attaques. Les entreprises peuvent bénéficier de la collaboration avec des fournisseurs utilisant la technologie RPZ pour gérer proactivement les noms de domaine suspects. Une cybersécurité robuste protège non seulement les processus internes, mais également les données sensibles des clients et partenaires commerciaux.
Un groupe de scientifiques internationaux et diversifiés, dont des membres du CNRS, utilise l’intelligence artificielle (IA) et le machine learning pour améliorer la détection des filaments de gaz interstellaires, essentiels à la formation des étoiles. Jusqu’ici, identifier ces filaments était difficile en raison de leurs conditions de densité, température et composition chimique uniques. Les télescopes actuels présentent également des limites techniques. L’IA devrait accroitre significativement la détection de ces filaments, favorisant ainsi le développement de nouvelles théories et hypothèses dans le domaine de l’astrophysique stellaire. Cette application de l’IA dans l’astrophysique promet de nombreuses avancées, telles que la détection de signatures spectrales indiquant une possible existence de vie extraterrestre ou la prédiction des mouvements d’objets spatiaux pouvant affecter notre planète.
L’article intitulé « Poison numérique: quand l’automatisation devient une menace » met en garde contre les risques liés à l’expansion de l’automatisation informatique. Bien que celle-ci amène des bénéfices indéniables en termes d’efficacité et de productivité, elle comporte également des failles susceptibles d’être exploitées par des individus malveillants. Selon une récente étude, 78% des entreprises utilisent divers outils d’automatisation informatique, mais négligent souvent la cybersécurité associée. L’analogie avec l’empoisonnement des puits illustre comment une unique manipulation incorrecte peut avoir des conséquences importantes sur l’ensemble du système. Néanmoins, une solution émerge progressivement: l’Intelligence Artificielle, et spécifiquement le Machine Learning, qui peuvent identifier et bloquer les attaques ciblant les systèmes informatiques.
L’apprentissage automatique, une branche de l’intelligence artificielle, transforme notre monde en permettant aux ordinateurs d’analyser des données et de prendre des décisions, imitant la pensée humaine. Bien que cette discipline connaisse un succès certain dans divers domaines, elle soulève des inquiétudes concernant sa fiabilité et sa sécurité, notamment dans les secteurs liés à la protection des personnes. Des défis subsistent, tels que la difficulté pour les machines à s’adapter à des environnements changeants et la limitation de l’approche consistant à corriger les erreurs face à des scénarios critiques en matière de sécurité. Plutôt que de miser sur la performance absolue, certains scientifiques proposent un modèle d’apprentissage automatique axé sur des actions testées et validées en conditions réelles, favorisant ainsi la construction d’une relation de confiance entre humains et machines.
Les véhicules autonomes, longtemps présentés comme l’avenir de la mobilité, accusent un certain retard dans leur adoption généralisée. Des obstacles subsistent, notamment la difficulté à prévoir le comportement irrégulier des conducteurs humains. Malgré des millions de kilomètres parcourus en tests et des technologies avancées, les voitures autonomes peinent à atteindre le niveau de sécurité des conducteurs humains. Un programme de l’Université du Michigan utilise des données réelles pour former des algorithmes plus adaptatifs, visant à améliorer la gestion des situations complexes et imprévisibles. La question demeure de savoir si les ordinateurs parviendront un jour à égaler l’habilité humaine face à l’inconnu, et comment notre société appréhendera ce changement. Pour en savoir plus sur les véhicules autonomes et les défis qui y sont liés, consultez les ressources recommandées.

Les technologies telles que l’IA et le Machine Learning (ML) suscitent beaucoup d’enthousiasme, mais aboutissent rarement à de véritables percées, ce qui entame la confiance du public. Cet article examine les raisons de cet écart entre attentes et réalités et propose des solutions pour une gestion plus efficace du ML.

  1. Reconnaître les limites du produit: Former les employés à l’utilisation appropriée du ML est vital avant toute adoption à grande échelle. Un Grand Langage Modèle (GLM), tel que ChatGPT, requiert une bonne compréhension de ses possibilités et limites. 2. Fournir des solutions à des problèmes concrets: Adapter le ML à des problèmes spécifiques et difficiles à résoudre traditionnellement, après une analyse exhaustive des besoins et des données disponibles. 3. Optimiser le développement du ML grâce à la collaboration inter-équipes: Encourager la communication et la collaboration entre les équipes impliquées dans le développement et le déploiement de solutions ML afin d’éviter les redondances et les gaspillages. 4. Clarifier l’utilisation du produit fin: Intégrer le ML dans une solution globale, en distinguant clairement les rôles et responsabilités de chaque membre de l’équipe. Une coordination étroite entre les membres de l’équipe produit est essentielle. 5. Exploiter les atouts du MLOps: Industrialiser et automatiser les procédures ML à l’aide du MLOps, améliorant ainsi l’efficience et limitant les erreurs coûteuses. En conclusion, le ML présente d’importantes opportunités, mais il convient de les appréhender intelligemment, en tenant compte de ses limites et de son intégration dans une solution globale. Favoriser une culture de collaboration, clarifier les rôles et adopter les meilleures pratiques MLOps constituent des facteurs clés de succès.
Netflix, géant mondial du streaming, combine une offre de contenu exceptionnelle avec une innovation constante en technologie. Derrière les succès de séries comme Stranger Things, The Crown et Narcos se trouvent des outils open source développés par les ingénieurs de Netflix. Ces outils, tels que Conductor, Titus, Dagobah, Iceberg et Metaflow, sont utilisés pour construire une infrastructure de machine learning dédiée aux médias. Ils ont été appliqués à la recherche de séquences optimales pour le match cutting, une technique de montage cinématographique qui crée des transitions fluides entre deux plans différents. Ce processus implique cinq étapes: distinction et extraction des scènes, anthropomorphisation des fragments narratifs, soulignement des particularités narratives, calcul et archivage des combinaisons probables, et classement et sélection des champions. Malgré certaines difficultés techniques, Netflix a mis en place des stratégies pour surmonter les obstacles liés à la parallelisation et à la scalabilité. Les outils open source de Netflix promettent d’automatiser des tâches fastidieuses et d’offrir des possibilités inédites pour l’invention et la conception de récits riches en rebondissements.
Le Machine Learning (ML) est un domaine en pleine croissance, offrant des opportunités importantes mais aussi présentant des défis majeurs lors de sa mise en œuvre dans les entreprises. Contrairement aux idées reçues, le ML n’est pas une baguette magique, et sa maîtrise nécessite une expertise technique, une bonne compréhension des processus opérationnels et des jeux de données, ainsi qu’une anticipation des imprévus. La réussite d’un projet ML repose sur plusieurs facteurs clés, notamment la définition du champ d’application, l’identification des besoins spécifiques, l’amélioration de la collaboration inter-équipes, l’intégration du ML dans la chaîne de production et la prise en compte de l’MLOps dès le début du projet. Ces éléments permettront aux entreprises d’aborder sereinement les projets ML et de maximiser leurs chances de succès.
Dropbox introduit une nouvelle fonctionnalité de reconnaissance des dates dans les noms de fichiers, grâce à l’utilisation de DistilRoBERTa et SentencePiece. Cela permet une meilleure gestion des fichiers, avec une augmentation de 40% du nombre de fichiers correctement renommés. Ce système offre également des options de personnalisation telles que l’incorporation de mots-clés, l’ajout de données contextuelles et l’insertion de métadonnées. En outre, Dropbox prévoit d’explorer d’autres domaines grâce auxLarge Language Models (LLM). Ces développements suggèrent des possibilités intéressantes pour l’interaction homme-machine dans la gestion des fichiers numériques.